Chronique Pressée 64 – COUP DE COEUR pour Fragments (artbook)

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Fragments

de créatures merveilleuses

De l’artiste Tiphs

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POUR CET ARTBOOK

AUX LIGNES ÉPURÉES ET POÉTIQUES !

Mes dessins préférés : traits délicats et courbes poétiques sur fond blanc ou noir

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Le petit plus : créatures et personnages des romans de Tiphs

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Un artbook sensible et poétique, véritable invitation au voyage !

Idéal pour trouver l’inspiration quand on est auteur de fantaisie ou de fantastique, ce carnet de dessin vous fera également entrevoir les créatures et personnages peuplant les romans de Tiphs : façon très originale d’entrer dans un univers d’auteur !

Chaque dessin de l’artbook raconte une histoire, suggère une ambiance, dégage une force : il y a des femmes, des hommes, des créatures, des animaux, des esquisses, des illustrations, des fonds blancs, des fonds noirs, des portraits, des silhouettes, des personnages…

En un mot : mille et un fragments de rêve !  

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Pour acheter l’artbook Fragments,

il suffit de cliquer !

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À votre crayon pour dessiner vos rêves !

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Chronique Pressée CHEF-D’ŒUVRE 5 – Médée chérie

Vous manquez de temps ? Vous aimeriez lire une chronique en 2 minutes ? Le temps de votre café, idéalement ?

C’est possible avec ma nouvelle Chronique Pressée sur Bakhita !

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Médée chérie

nous raconte la lente et intime souffrance de l’abandon

qui laisse corps et âme en proie à la dévastation

avant la renaissance des chairs à travers l’art créateur !

 

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UN CHEF-D’ŒUVRE

de poésie, de sensualité et de destruction

réinventant le mythe de Médée

 

 

Médée chérie

De Yasmine Chami

Chez Actes Sud

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Photo du Blog de l’IMA (Institut du Monde Arabe)

 

 

Résumé :

Dans un aéroport, une femme attend : son époux s’est absenté un instant. En escale à Paris, ils partent pour Sydney, Ismaïl est chirurgien, Médée est sculpteur. Mais l’attente se prolonge. L’embarquement de leur vol vient d’être clôturé, il ne reviendra pas. Médée se fige. Mariée depuis vingt-cinq ans, elle n’a cessé de célébrer leur couple, comblée parla naissance de ses enfants, assumant sa vie de mère et trouvant néanmoins l’espace et le temps nécessaires à l’édification d’une oeuvre considérable, elle ne pouvait imaginer une telle chute. Médée est immobile, elle ne veut pas sortir du sas où l’a placée la violence de l’abandon, et pour cela décide de s’installer dans une chambre de l’hôtel attenant à l’aéroport.

Sur un fil, funambule, Médée s’apprête à traverser le miroir. Car plus fortes que son corps dévasté, que ses sombres pensées, ses mains vont se saisir encore une fois de la dramaturgie humaine et d’une boule de terre extraire le geste, la trahison, et dès lors les comprendre. Serré, tendu telle une corde encre deux tours, ce livre célèbre la puissance d’une femme, sa résilience et sa capacité à déloger de son corps affaibli la matrice de l’art : émergence salvatrice, échappée absolue pour tout être entravé.

— Littérature contemporaine —

 

 

Bonjour à toi, Lecteur Pressé et empressé !

Arrête tout ce que tu fais et prends le temps de venir lire ma chronique pressée promptement ! Je vous y partage mon avis à brûle-pourpoint sur un chef-d’oeuvre contemporain : MÉDÉE CHÉRIE de Yasmine Chami !

Qu’est-ce que ce livre a de plus que les autres ?

Cela tient d’une alchimie du verbe, d’une sensualité de la sonorité, de la candeur sublime d’une femme : Médée !

A LIRE ABSOLUMENT

pour les amoureux de la langue et des phrases langoureuses !

 

 

Chronique Pressée :

En un mot :

∼ La beauté immortelle des mots écorchés ∼ 

 

En une phrase :

 Venez unir votre chair et votre froide douleur, mélanger le poison de vos abandons et de vos amours noirs avec le sang de Médée qui meurt délaissée dans une chambre d’aéroport 

 

Sur le style :

∼ Lente est la longue litanie des chairs et des mots qui éviscèrent la douleur profonde de l’abandon et de l’effacement comme un appel oscillant entre vie et mort  ∼

 

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Sur les personnages : 

Voici Médée chérie, celle qu’on abandonne, qu’on oublie, qu’on laisse, et, dans les entrailles profondes de sa blessure, Médée, humiliée, détruite, désincarnée, porte sur elle la malédiction prophétique de son nom ∼

 

Sur l’ambiance : 

∼ Un état de grâce dans la chute 

 

 

Mots à retenir : 

 

« Il y a en elle un monstre enchaîné qui attend une brèche pour se libérer et tout emporter dans une dévastation radicale. »

(Page 27)

*

« Ce qui occupe Médée, échouée sur ce lit étroit, c’est la mémoire de ce moment où elle avait franchi le seul de son désir à lui, où elle était devenue soudain sensible à cet homme, un étranger jusque-là, au point d’en faire le point de convergence de tout cet amour, cette ferveur de vie qui la traversait comme des vagues depuis qu’enfant, elle avait la première fois ressenti consciemment la beauté du monde en dehors d’elle. »

(Page 52)

*

« Qu’y a-t-il en elle qui éloigne ce qu’elle aime le plus, que n’a-t-elle pas su donner, tisser, qui aurait pu les sauver de cette destruction ? »

(Page 58)

*

« Mais au fond, ce qui occupait Médée, tandis que son corps se défaisait dans la nuit qui la cognait, c’était la certitude d’avoir consenti à sa propre défaite. »

(Page 64)

*

« L’unité est rompue, elle ne peut plus se retrouver sous peine de contempler l’abîme qu’elle frôle, qui la guette comme un énorme trou noir au-dessus duquel elle avance sur un seul fil tendu, si fin qu’il menace de rompre à chaque instant. »

(Page 80)

*

« […] je pleure comme une enfant dans le noir, j’ai peur de continuer à avancer seule, j’ai peur de mourir seule, j’ai donné les clefs de ma vie à cet homme rencontré trente ans plus tôt, il me les a rendues, mais je ne sais plus m’en servir. J’ai honte de souffrir ainsi, face à toi qui as tant perdu, un mari, un fils, ton pays, ta famille… Et pourtant je souffre, je suis une boule de feu vivante, mes mains tremblent, je ne dors plus, je ne sais plus qui je suis, je n’ai plus la mémoire de qui j’ai été. »

(Page 88)

*

« Nous sommes déliées, Médée, errantes, réfugiées sans refuge, et nous ne savons vivre que dans les liens que nous tissons obstinément, jusque dans la dévastation. »

(Page 101)

*

« Mon fils met sur ma route des signes, des cailloux de Petit Poucet pour que je puisse retourner sur mes pas et retrouver le chemin de ma vie quand ce cycle de destruction sera derrière moi. Quand on aime, on est signe pour l’autre, il est signe pour nous, comme toi qui surviens à ce moment de ma vie où presque tout me devient étranger. »

« Qui n’est pas réfugié de quelque part ? D’une enfance, d’un amour, de sa propre jeunesse enfouie, des liens cassés, d’un pays en guerre, d’une perte qui n’a pas de nom ? »

(Page 109)

*

« Lorsque le téléphone de Juan a sonné, en ce début de soirée, dans la lumière finissante de son atelier parisien, il s’en est emparé dès la première vibration, parce que depuis plusieurs jours, prévenu par Adam de l’abandon d’Ismaïl, du refus de Médée de sortir de cet aéroport qui est devenu pour elle ce no woman’s land où il l’imagine chutant dans un abîme sans fond, celui-là même qu’elle explore obstinément depuis l’âge de quinze ans, la possibilité ou l’impossibilité de l’amour, la force et la vanité des liens, l’archéologie des corps aimants puis souffrants, toute cette liturgie de la pierre et du latex, de l’acier et de la fibre qu’elle convoque en magicienne, avec la puissance incantatoire de la conjuration impossible, il a attendu cet appel. »

(Page 118)

*

« Je comprends que tu le penses, Médée, tu crois que tout est différent, parce que nous sommes si construits et si détruits que rien ne peut plus nous arriver. Mais moi, avec toi, tout peut m’arriver jusqu’à mon dernier souffle, je n’ai pas d’âge, pas de mémoire, pas de passé face à toi. »

(Page 124)

*

« Elle décèle dans le regard que Juan pose sur elle une souffrance nouvelle, née de la conscience de tout ce que Médée a donné à cet homme qui est parti, tout ce dont il a été dépossédé des années durant, mais dont il n’avait peut-être pas réellement conscience dans la solitude de son atelier, ni même dans le quotidien de son appartement parisien depuis vingt ans, traversé par des femmes de passage, jamais complètement aimées, le visage de Médée toujours installé en lui comme le vertige de l’amour même, et il a accepté ces partages éphémères, ces plaisirs limités comme le prix à payer pour cette rencontre foudroyante quarante ans plus tôt. »

(Page 130)

 

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1 – Le style

Comme des larmes, les phrases coulent à l’intérieur des pages en sillons proustiens.

J’aurais cruellement, furieusement, absolument voulu écrire ce roman à la poésie sensuelle et incantatoire renouvelée ligne après ligne ! J’aurais pu mourir tranquille après avoir érigé pareil temple de la littérature !

 

2 – Le triomphe de l’art

Un être qui se relève, qui s’abandonne à la pulsion de vie dans l’art, quoi de plus beau ? Quoi de plus vivant ? Peut-il y avoir plus de sens à vivre que de changer sa mort en objet d’art ?

 

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 Un véritable chef-d’oeuvre d’amour, de poésie, de sensualité, de figure mythique, d’incarnation féminine, d’obscurité animale, de douleur et de vie, d’art et de destruction, de style et de larmes en sillon, comme un long et intense dérèglement de tous les sens sur la peau des souvenirs et le fil du précipice !

Mon Dieu mais lisez cette incantation merveilleuse de la femme !

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Pour acheter Médée chérie,

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Photo du Blog de l’IMA (Institut du Monde Arabe)

 

 

À votre tasse de café et que cette lecture vous coupe le souffle !

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Chronique Pressée 31 – La personne de confiance

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Avec La personne de confiance

faites une rencontre insolite qui bouleversera votre quotidien!

 

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Un roman du sourire et de la rencontre

qui souffle tendrement un vent d’affection sur une mamie à la mémoire qui flanche et un jeune défavorisé

 

 

La personne de confiance

De Didier Van Cauwelaert

Chez Albin Michel

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Quatrième de couverture :

« Depuis que je suis entré dans sa vie en l’enlevant avec mon camion-grue de la fourrière, elle n’a plus envie de mourir. Elle m’a même choisi pour être ce qu’on appelle sa  »personne de confiance ». Du jour au lendemain, je me retrouve avec les clés de son destin, de son entreprise, de sa famille de rapaces… Reste à savoir, comme dit ma copine Samira, si c’est le kif absolu ou le plus dangereux des pièges. »

Quand deux jeunes de banlieue décident de sauver une ancienne héroïne de la Résistance… Un roman haletant, jubilatoire, avec un éclat de rire à chaque page et toute l’émotion du monde.

— Littérature contemporaine —

 

 

 

Chronique Pressée :

En un mot :

∼ Cocktail d’émotions 

 

En une phrase :

∼ C’est l’histoire d’une garde à vue, d’un jeune de banlieue qui a le parler franc et la main sur le cœur, d’une jeune boxeuse à conquérir et d’une incroyable mamie des biscuits Larmor, ancienne résistante, qu’il faut sauver ! Sauver ? Mais de quoi ? Ah, ça je ne vous le dis pas ! 

 

 

Sur le style :

∼  Un parler franc venu de cité ou bien du cœur ? 

 

 

Mots à retenir : 

« On croit qu’on ne sert à rien sur terre, jusqu’au jour où quelqu’un vous demande l’impossible. »

(p.5, chez Albin Michel)

*

« Elle est toute menue, mais avec une densité impressionnante, une énergie de Vieille au bois dormant réveillée en sursaut. »

(p.21)

*

« Mais là, c’était la première fois qu’une mamie me prenait dans ses bras. Et quelle mamie… Vous ne pouvez pas comprendre. C’est comme si, d’un coup, on me remboursait mon enfance. »

(p.30)

*

« Vous comprenez le parallèle ? La confiance qu’elle plaçait en moi, fondée sur rien, c’était celle qu’elle avait reçue ».

(p.84)

*

« Tout ce que j’ai réussi dans la vie, ma puce, je l’ai décidé sur un coup de tête, accompli dans l’urgence sans écouter personne, et ensuite je m’y suis tenue contre vents et marées. »

(p.95)

*

« Vous savez, on finit par devenir ce que les gens pensent de nous. »

(p.130)

*

« A l’époque, ils étaient sûrs qu’elle allait baisser le rideau, comme au théâtre quand la pièce est finie ; ils ne se doutaient pas que c’était juste l’entracte.« 

(p.143)

*

« Elle n’était pas sadique, elle prenait juste sa revanche sur les cœurs secs, les calculs et les arrière-pesées. Une revanche de gamine.« 

(p.143)

 

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La narration orale du début jusqu’à la fin fatigue un peu et j’ai parfois dû faire une pause dans ma lecture pour souffler (mais cela ne m’a pas empêché de trouver la langue de Max émouvante, drôle et agréable à lire !)

J’ai par moment relu certaines phrases à 2 fois pour bien suivre la « déposition » de Max : nous n’avons que ses dires durant l’entrevue et il faut déduire de ses questions ou réponses les paroles de l’interlocuteur.

 

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Une façon de raconter l’histoire très originale : je vous pose la scène (en SPOILER, si vous voulez lire la suite, surlignez le texte qui suit) : un jeune de banlieue nous raconte dans le cadre d’un interrogatoire sa rencontre avec Madeleine Larmor pour se disculper des soupçons qui pèsent sur lui suite à la disparition de la vieille dame. Ce jeune Max s’adresse à nous comme si nous étions son interlocuteur et c’est ce qui fait tout le charme de ce joli roman de rencontre !

Un registre de langue oral, vrai et « jeune de banlieue » qui est émouvant !

On se sent très proche des personnages : Max était comme un ami durant ma lecture, Sam une voisine qu’on admire et Madeleine, une grand-mère qu’on aime

Une rencontre atypique qui laisse sans voix, surpris et touché !

Une suite d’aventures auxquelles on ne s’attend pas !

Une fin surprenante qui met le lecteur au cœur de l’histoire : je n’en dis pas plus mais quelle jolie boucle…

 

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Une histoire originale de rencontre, de confiance et d’entraide qui vous donnera le sourire le temps d’une lecture !

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POUR ACHETER La personne de confiance,

IL SUFFIT DE CLIQUER !

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À votre tasse de café et belle… rencontre !

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Chronique Pressée 28 – COUP DE COEUR pour Déclaration des droits de l’âme

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Déclaration des Droits de l’Âme

est un appel à la liberté et l’ivresse !

 

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Pour ce conte initiatique

aussi riche qu’une mine d’or, 

de vent, de sable et de sagesse !

 

 

Déclarations des Droits de l’Âme

De Pier Veranese

Chez Editions Parole

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Quatrième de couverture :

Le Narrateur a tout réussi de sa vie, mais il a peu à peu perdu son âme… Il va se voir offrir la possibilité de la recouvrer, au cours d’une escapade singulière, par les paroles bienveillantes d’un centenaire qui lui ressemble étrangement. Poésie, vérité, solitude fertile, anomalie, égarement, érection de l’âme…

— Conte initiatique, philosophique et poétique —

 

 

 

Chronique Pressée :

En un mot :

∼ Chant poétique d’une Âme insoumise ∼

 

En une phrase :

Babu Khayyam centenaire se met à parler au Babu Khayyam trentenaire  : il lui dit qu’il est fils du sable et de la mer, que son Âme n’est pas perdue, qu’elle a des droits inaliénables…

Toi aussi, entends cet appel à la liberté, l’insouciance et l’unicité de ton Âme ; entends ce réconfort donné à l’Homme errant ; entends ce chant de délivrance de l’Âme inquiète et esclave ; entends et souviens-toi des Droits de ton Âme, insoumise et joyeuse ! 

 

 

Sur le style :

∼  Un conte de vent et de sable 

Sur la construction :

∼  Un collier poétique des droits de l’Âme 

 

 

Mots à retenir : 

« L’âme a droit à tout, sauf au mensonge »

(couverture, éditions parole, collection la mescla)

*

« Si tu ne sais te mettre à genou, Babu Khayyam, tu ne sauras te tenir droit. »

(p.40, éditions parole)

*

« À la guerre d’amour il faut tomber armes, armures et munitions. »

(p.43, éditions parole)

*

« Ton âme, Babu Khayyam, est fiancée du silence.

Pour elle, assoiffée, le silence est la source ardente. Elle y retrouve ses racines, les premiers instants de sa vie, les premiers pas du monde à sa création. »

(p.44, éditions parole)

*

« Ainsi tes questions viennent du bruit, tes réponses du silence. »

(p.46, éditions parole)

*

« La nature de l’âme est de renaître, de se renouveler à chaque instant. Elle est un ferment, se transforme continuellement, ne se ressemble jamais.

L’âme est en enfance pour l’éternité. »

(p.48, éditions parole)

*

« Entrer en relation amoureuse c’est entrer dans la confiance totale. Et dans l’insécurité absolue. »

(p.52, éditions parole)

*

« Prends soin de ta vie, elle est ton unique oeuvre d’art. […]

Porte-toi dans la légèreté ! »

(p.61, éditions parole)

 

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Un titre accrocheur, simple, clair et cohérent avec le livre, mais qui manque de poésie, qui fait un peu trop sérieux et philosophique peut-être ?

 

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Un conte magnifiquement bien écrit où se mêlent la poésie du vent et la poésie du sable !

Un message d’une grande sagesse : savoir libérer son âme, retrouver insouciance et ivresse !

Un condensé de sagesse plaisant à lire !

Une suite d’enchantements de l‘âme qui se libère, comprend, s’accepte unique, fugue, se met à nu, se gouverne, s’isole, s’autorise l’érection, cherche la vertu, est soif insatiable, est mystère, est silence, égarement, simplicité, rencontre amoureuse, beauté jusqu’au vertige !

Plus qu’une lecture, un vertige de poésie !

 

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Une leçon d’Âme et de poésie que je vous recommande pour

retrouver l’ivresse de vivre !

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POUR ACHETER Déclaration des Droits de l’Âme,

IL SUFFIT DE CLIQUER !

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À votre tasse de café et bonne lecture !

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Chronique Pressée 26 – Sansonnets aux sirènes s’arriment

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Cup of coffee.

Avec le recueil poétique Sansonnets aux sirènes s’arriment,

amusez-vous à entortiller les vers et les rimes !

 

LECTURE RIEUSE

au fort goût d’expérimentation poétique !

Ce n’est pas le style que j’aime

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Sansonnets aux sirènes s’arriment

De Pierre Thiry

Auto-édition

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Quatrième de couverture :

Tu cours, tu n’as pas le temps, tout va de travers… 
Cher.e ami.e prends ton temps et ne prends pas la fuite! 
Viens flâner par ici, ce bouquin prend la suite 
Du précédent « Sansonnets un cygne à l’envers. » 

Ici les sansonnets aux sirènes s’arriment… 
Pour s’élancer vers de nouvelles aventures, 
Se balancer vers d’inédites ouvertures, 
Là où ces cent sonnets oscillent, règne la rime…

— Poésie —

 

 

Chronique Pressée :

 

En un mot :

∼ Récréation poétique 

 

En une phrase :

∼ Si le vers s’amuse avec la rime en fanfaronnant quelque peu sous ses rires, il faut au lecteur beaucoup d’enfance de l’art pour goûter la saveur de ce recueil tout en calembours et autres jeux de mots ! ∼

 

Sur le recueil :

∼ Des vers rieurs qui mettent par moment le cerveau à l’envers 

 

Quelques vers en extrait : 

 

« La sirène et quelques oiseaux

Tourbillonnaient dans le « O » vide »

 

(poème « ouverture » de la série sur Ovide)

*

« J’agite mon mobile poétique

Et pars en chasse aux rimes athlétiques

Qui danseront la lambada sans stress… »

 

(poème « La lambada sans stress »)

*

« L’art en traits lie terre, air, en un

Horizon brumeux un peu flou. »

 

(poème « La Rentrée littéraire »)

 

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Même si j’ai aimé les références, l’intertextualité et les expérimentations poétiques du recueil, j’aurais souhaité que les poèmes soient plus personnels, et ne se limitent pas à de simples exercices de style ou reflets des grands poèmes. 

L’incessant mélange des registres de langue et la présence d’un lexique du quotidien, sans lyrisme ni beauté, m’a également dérangée.

À force de jeux de mots et de jeux de rimes, les poèmes m’ont paru trop artificiels, trop intellectuels, trop poèmes de « rimailleurs ». L’auteur, d’ailleurs, a parfaitement atteint en cela son ambition : libérer la création grâce à un exercice d’écriture poétique, loin de toute quête de sens de la Poésie (cf. postface p.107). Je ne critique donc pas le résultat mais plutôt l’ambition du projet qui, pour moi, manque de sens. Je ne pense pas que l’on puisse écrire en dehors d’une quête de sens et de message, d’expression personnelle et de recherche de vérité. Cette poésie, bien qu’intéressante et intelligente, en reste insuffisante à mon goût, à l’instar des formes extrêmes de l’OULIPO (OUvroir de LIttérature POtentielle). Pierre Thiry invite le lecteur à se servir de ces « vers » comme d’une source d’inspiration pour écrire autre chose (et lui-même écrira d’autres textes à partir de ces poèmes), ce qui peut être intéressant… mais hélas ne m’a pas vraiment inspirée ! Oui oui, vous l’aurez compris, j’ai besoin de sens, de message, de poésie plus authentique ! On ne se refait pas !

 

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Un titre très accrocheur !

Certains jeux de mots craquent sous la dent ! 

Des références poétiques qui piquent la curiosité et l’intellect !

 

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Exercices de style, jeux de rimes et autres calembours ludiques

qui résonnent un peu creux à mon oreille

mais plairont aux oreilles plus rieuses !

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*** Remerciements ! ***

Je remercie infiniment Pierre Thiry de m’avoir envoyé son recueil ! Même si je n’ai pas adhéré aux choix poétiques proposés dans ces poèmes, cette lecture a été riche en réflexions et références littéraires !

 

Pour acheter Sansonnet aux sirènes s’arriment,

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À votre tasse de café et bonne découverte poétique !

Cup of coffee.

 

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Chronique Pressée CHEF-D’ŒUVRE 3 – Ici ça va

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Avec Ici ça va,

laissez les racines de la vie étreindre votre cœur !

 

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UN CHEF-D’ŒUVRE

sur les petits riens de l’existence

en littérature contemporaine

 

Ici ça va

De Thomas Vinau

Chez 10/18

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Résumé :

« Pour échapper à un quotidien stressant, un couple trouve refuge au milieu des herbes folles, dans les ruines d’une maison familiale. Lui reconstruit, elle jardine. Et tandis que les blessures du passé surgissent entre les fissures des pierres, chacun se reconquiert, redécouvrant le goût de la vie et le chemin lumineux qui conduit à l’autre… »

 

Chronique Pressée :

En un mot :

∼ L’être invisible des choses ∼ 

 

En une phrase :

∼ Dans les détails du monde, dans les racines de la banalité, 

dans les feuilles de l’espoir, dans le sourire du jardin et des arbres, 

 dans le rythme de la phrase courte, dans l’ellipse du verbe,

dans le simple signifiant : on trouve la vie ∼

 

 

Sur le style :

Murmure de l’âme ∼

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Sur les personnages : 

Minimalistes, mis à nu avec pudeur, petit à petit ∼

 

Sur l’ambiance : 

∼ Une bouffée de sérénité, rassurante et intérieure, existentielle aussi 

 

Mots à retenir : 

 

« J’ai pensé que c’était parfois tout ce qu’il restait d’une vie d’amour et de sueur. D’une histoire entière d’homme. Une date gravée dans le ciment. Comme dans les cimetières. »

(Page 28)

 

« Une de ces périodes pendant lesquelles l’adulte bancal que nous sommes devenus obtient l’autorisation de retrouver l’enfant qu’il était. Une sorte de dérogation exceptionnelle aux piétinements du temps. »

(Page 115)

 

« Mêmes remugles de moisi et de tendresse. De poussière et d’enfance. Doux comme un rêve mort. »

(Page 117)

 

Tous les autres mots, il faut les regarder attentivement et les écouter nous parler lentement de la vie et de nous…

D’autres extraits sont lus dans ma vidéo 😉

 

Mon avis en direct (!!) : 

 

Pour acheter Ici ça va,

il suffit de cliquer !

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À votre tasse de café et bonne lecture !

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Avez-vous aimé ma Chronique Pressée ?

La lecture de ce livre ?

 

 

Pour Info 3 – Poésie en ligne dans la revue Le Capital des Mots !

Vous aimez les petites infos croustillantes qui ne prennent pas dix plombes ?
Alors qu’attendez-vous pour lire mes « Pour Info » ?

Vous aimez les petites infos croustillantes qui ne prennent pas dix plombes ?
Alors qu’attendez-vous pour lire mes « Pour Info » ?

 

Poésie en ligne dans la revue

Le  Capital des Mots

 

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Vous cherchez de la poésie ?

À lire gratuitement ?

Et rapidement ?

ffff

Ou alors vous n’en lisez jamais ?

Mais pourquoi pas si c’est rapide

et gratuit ?

 

J’ai trouvé la revue en ligne idéale pour vous 

et vos petites lectures de poésie par-ci, par-là : 

Le Capital des Mots ! 

tenu par le poète Eric Dubois.

 Les poétesses Evelyne Charasse, lauréate du Grand Prix de Poésie de la RAPT 2017

et Aurélie ML Swanaussi connue pour ses chroniques de cendrillon,

ainsi que moi-même,

avons toutes les trois été publiées dans cette revue !

(Pour lire nos poèmes, il suffit de cliquer sur nos noms !)

 

Vous hésitez encore ? 

Oh ! Impossible !

Alors voici quelques poèmes pour vous convaincre !

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Evelyne Charasse

 

Quelque part

Un soleil borgne

S’épuise

Il hurle

En silence

Il est nu

Il lutte

Contre

Le vide

Qui l’engloutit

 

Comment faire

Pour exister

Être au monde

Quand le cri

N’est que

Cendres

Quand

La nuit

Abrite

La nuit

 

On a beau

À travers

L’espace

Lancer

Des tentacules

Et retourner

Les étoiles

Parfois

Les ailes des papillons

Ne peuvent plus

Bousculer

Le temps

 

Un incendie

Silencieux

Continue

De détruire

Le ciel

Il s’effrite

Et s’écorche

En tombant

Nul

Ne peut

Retenir

Le souffle

Du vent

 

Et les paumes

Bleuies

De rêves

N’y peuvent rien

Comment

Ne pas

Éclabousser

Le quotidien

De l’étincelle

Noire

Qui nous porte ?

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Voici quatre poèmes d’Evelyne Charasse publiés dans la revue Bleu d’Encre et un cinquième dans celle Festival Permanent des Mots

que je trouve fabuleux, d’une puissance évocatrice époustouflante !

En quelques lignes, en quelques mots seulement, j’entends le poumon battant de la vie,

je sens dans mes tripes le souffle magique de la vie qui emporte, qui chavire et souffre !

La cadence du poème découpé en petites respirations me fait perdre haleine et m’entraîne dans un vetige poétique !

J’aime aussi les assonnances et les allitérations qui portent à mon oreille le feu secret et intime de cette confidence !

En un mot : Pour moi, chef-d’oeuvre !

 

Aurélie ML Swann

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Sourd, aveugle est le monde,

Las est le loup.

*

Sourd, aveugle est le monde,

Le loup poursuit sa course.

*

Sourd, aveugle est le monde,

Persécuté est le loup.

*

Sourd, cruel est le monde,

Le loup se meurt.

 

Mille roses,

ont écloses,

dans mon cœur.

*****

Tombent, tombent,

Les pétales de la rose.

*

Tombent, tombent,

Les amours d’autrefois.

*

Tombent, tombent,

Puis renaît, un bourgeon.

 

Voici deux poèmes d’Aurélie ML Swan postés sur son blog tous les dimanches, 

qui ont une légèreté touchante !

Je vous conseille d’aller lire ces deux autres publiés dans Le Capital des mots

qui sont mes préférés pour leur souffle particulier !

Le jeu de répétitions et l’agencement des mots créent

une harmonie poétique qui enchante !

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Mélodie Ambiehl

fff

Mon coeur a bu

tout l’océan

en pleurs

 

J’ai soif de soleil

sur la surface noire

de la tristesse

 

Combien de sirènes

déjà ont englouti

mon âme ?

 

L’amertume des souvenirs

parfois

surnage

bercée par les vagues

 

D’autres de mes poèmes paraîtront prochainement dans des revues papier,

toujours avec cette volonté de la brièveté qui suggère et murmure,

qui fait toucher sans dire !

 

 

 

Les Infos des Chroniques Pressées,

ça prend pas dix plombes !

Coup de Projecteur 2 – Evelyne Charasse parmi les lauréats du Grand Prix Poésie RAPT 2017

Encore un prix littéraire ?
Mais qui l’a gagné ? Qui était membre du jury ? Que récompense-t-il ?
Lisez mes « Coups de Projecteur » : vous saurez tout !
Et ne tomberez plus jamais des nues ! 

Encore un prix littéraire ?
Mais qui l’a gagné ? Qui était membre du jury ? Que récompense-t-il ?
Lisez mes « Coups de Projecteur » : vous saurez tout !
Et ne tomberez plus jamais des nues ! 

 

Le Grand Prix Poésie RAPT 2017

Sélectionne comme tous les ans dix poèmes d’auteurs amateurs entre 8 et 72 ans pour les afficher dans les métros de la RAPT où des millions d’utilisateurs pourront les lire.  

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D’où vient cette idée
de poèmes affichés dans le métro ?

Proposer des poèmes dans le métro, l’idée vient de l’auteure américaine Judith Chernaik, qui a commencé à en poster dans le subway londonien. L’initiative est adaptée en France par deux poètes, Francis Combes et Gérard Cartier, dans les années 90. Le concours des belles plumes organisé par la RATP, lui, a débuté en 1997. Il faut dire que depuis des décennies, la poésie a quelque chose à voir avec les transports en commun parisiens : Queneau a chanté les trains de banlieue, Roubaud a composé sa célèbre Ode à la ligne 29 des autobus parisiens, sans oublier évidemment les poèmes de métro inventés par Jacques Jouet.

Les usagers, à en croire le bavardage sur Twitter, semblent en tout cas plutôt charmés par l’initiative.

Passage repris de l’article Libération à lire en entier ici avec tous les poèmes lauréats !

 

En 2017,
les gagnants ont été choisis parmi 9 500 propositions !
Et parmi ces dix gagnants,
j’ai la chance d’avoir fait la rencontre d’EVELYNE CHARASSE,
dont le poème lauréat m’a touchée :

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Evelyne Charasse revient pour nous
sur son parcours d’auteure :

Je m’appelle Evelyne Charasse.

Je suis née en 1960 à Chalon sur Saône. J’habite à La Rochelle.

J’essaye d’écrire des flocons de neige.

Certaines de mes micropoésies ont été publiées  dans les revues numériques  Le capital des mots, Soliflore,  Ce qui reste, Revue méninge web et  L’Art en LoireAccent libre, Le Souffle, Arcane 18 et Lichen.

Ainsi que dans les revues papier Libelle (260/268/277/280) et Lélixire (9), Herbe Folle (4), Traversées (75/81),  Traction-Brabant (60/64/67), Le tas de mots (17), Comme en poésie (61/64/67), Les Cahiers de poésie (41/42), Bleu d’encre (33), Revue Méninge  papier (7/8), Le chemin d’Arthur (4),  Le moulin des Loups, Ecrit(s) du Nord (27-28), Arpa (114), Paysages Écrits, Verso (164), Spantole (380), L’Intranquille , Jointure (99), Revue Cabaret (21), Jeux d’épreuves, Portulan bleu

En Janvier 2016, les éditions La Porte ont publié mon recueil de poèmes Je laisserai mes pas sur le sable.

En Mai 2016 les éditions AetH ont publié Chats et compagnie.

L’ouvrage collectif  J’ai mal à la Méditerranée édité par Corps Puce en 2016 comprend également un de mes poèmes.

En Septembre 2016 une de mes nouvelles a été intégrée à l’anthologie Compagnons d’écrivains des éditions Ikor.

En 2017, j’ai donc été une des Lauréates du Grand Prix RATP de Poésie et j’ai continué ensuite mes publications aux éditions de l’Aigrette, AetH et Corps Puce mais surtout je pose mes petits textes souriants ici :

https://bleue-la-renarde.over-blog.com

Et mes petites poésies ici :

https://twitter.com/BleueEvelyne

https://www.facebook.com/bleue.larenard

 

Voici quelques clichés de la remise des prix,
aventure incroyable qui a propulsé Evelyne Charasse
parmi les dix lauréats du Prix de la RAPT :
Evelyne Charasse est ici avec Augustin Trapenard, président du jury de 2017
mais également animateur radio-télé
et spécialiste de littérature

 

Cette année-là,
le journaliste Augustin Trapenard présidait le jury qui a sélectionné les dix lauréats !
La grande gagnante est une Parisienne de 8 ans,
AYA CHAOUAT,
pour ce joli poème :

Gagnant du prix de la RAPT 2017.jpg

 

Et terminons par une galerie
des poèmes lauréats que j’ai préférés
(en dehors du poème gagnant et de celui d’Evelyne Charasse) :

 

***

Pourquoi j’en parle ?

Mais pour vous faire découvrir l’original Grand Prix Poésie de la RAPT !

Pour vous faire lire de la poésie même sans avoir la chance de prendre le métro parisien !

Pour vous donner envie d’aller à la rencontre des mots poétiques d’EVELYNE CHARASSE, poétesse pleine de gentillesse et de chaleur !

Enfin pour que les poètes amateurs de 8 à 72 ans participent les années suivantes au Grand Prix de la RAPT !

 

 

Alors l’an prochain,

préparez vos plus jolis poèmes de 500 mots et participez au Grand Prix de la RAPT !

Et d’ici là,

si vous prenez le métro, ouvrez l’œil 😉

 

 

Coup de Projecteur réalisé par Mélodie Ambiehl
(qui participera l’an prochain à ce prix de la RAPT !)

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